Home sweet home (étagère et livres brulés, photographiques couleurs argentiques)Installation, 200 x 300 cm - Etagère et livres brulés, 120 photographies argentiques couleurs | ReconstitutionInstallation 200 x 200 x 250 cm - Portes, végétaux et conserves industrielles 2016 |
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Cuillère à salade200 x 250 cm - Bois calciné 2016 | CrucéologieInstallation, 200 x 200 x 250 cm - Clous, ficelles, bâche et boite plastique 2016 |
Crucéologie (détail)Installation, 200 x 200 x 250 cm - Clous, ficelles, bâche et boite plastique 2016 | Welcome HomeNACH LEBEN - états des lieux - installations, in situ à la Maison Laurentine 2016 |
Entrée du TempleInstallation 150 x 200 cm - Bois, terre et végétaux 2016 | Entrée du Temple (détail)Installation - Bois brulé 2016 |
Nach LebenInstallation, 200 x 260 cm - Porte, livres brulés et végétaux | NachLeben (détail, dérrière la porte)Installation, 200 x 260 cm - Porte, livres brulés et végétaux |
Toile - 50x35 cm. (Mélaminé brûlé)2016 | La PrimaveraVue générale du dispositif in situ dans l'exposition "Ordinaire du désastre - Permanence de la joie " 2017 |
Toutes mes victoires200 x 80 cm - Etagère brulée, objets calcinés 2017 | Ascension ( bois brulé, lierres, terre et fleurs vivaces)- La Primavera - Ordinaire du désastre / Permanence de la joie Installations, in situ à la Maison Laurentine 2017 |
Manège - portes en bois, terre, plantes vivaces)- La Primavera - Ordinaire du désastre / Permanence de la joie Installations, in situ à la Maison Laurentine 2017 | In situ - La PrimaveraVue générale du dispositif in situ dans l'exposition "Ordinaire du désastre - Permanence de la joie " 2017 |
Totems - poutres brulées, clous h : 300 cm diamètre : 35cm)- La Primavera - Ordinaire du désastre / Permanence de la joie Installations, in situ à la Maison Laurentine 2017 |
NACH LEBEN - états des lieux - &
LA PRIMAVERA
(dispositif d'installations in situ)
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Installations in situ
à la Maison Laurentine
du 19 juin au 11 septembre 2016
du 15 mai 2017 au 25 août 2017
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Aujourd’hui c’est à travers la mise en scène d’objets et d’images, que j’interroge la visibilité et la lisibilité de l’art dans son écho à l’actualité. C’est-à-dire son écho au phénomène de destruction de la culture, comme aux gestes de sa défense ou de sa restauration.
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Mes gestes veulent ouvrir un débat sur la construction comme sur la restauration de l’héritage détruit. Je le fais à l’instar de l’archéologue qui collecte et analyse les traces matérielles laissées par les civilisations disparues pour éclairer le temps présent.
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Les vestiges archéologiques peuvent avoir pour les descendants des groupes qui les ont produits, un intérêt mémoriel, pour les collectionneurs une forte charge esthétique et une valeur matérielle, mais pour la communauté une valeur politique.
La question des archives et des données collectées se combine avec la multiplicité des interprétations.